LA OPINION DE DIEU

La opinion de dieu

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La jungle maya s’étendait par-dessous un ciel d’obsidienne, où seules six ou sept étoiles perçaient l’épais feuillage des arbres centenaires. Au cœur de cette végétation luxuriante, une grande ville à avoir se dressait, ses temples en pierre dominant la canopée par exemple des veilleurs silencieux. Les torches brillaient faiblement le long des escaliers honnêtes allant au sommet de la pyramide principale, où se déroulait, tout nuit, un coutume oublié des gens d’aujourd’hui. Dans la chambre très grande du temple, un prêtre était allongé sur un lit de nattes, ses paupières closes, son âme lent et régulier. Ses clavier reposaient sur son torse, un joyau d’or et de pierre posé près de sa cou. Il n’était pas endormi notamment mes collègues habitants de la cité. Il était en voyage. La voyance des anciens ne se faisait pas via les cartes ou les Étoiles. Elle prenait forme dans le à brûle-pourpoint, là où les siècles s’effaçait et où les dieux murmuraient à ce que savaient être en phase avec. Le ecclésiastique, avec lequel le nom n’était fait l'expérience que des initiés, était l’un des derniers à réaliser cette discipline sacré. Il se laissait dériver dans l’obscurité de son être, attendant que les prédictions lui apparaissent. La jungle disparut. Le sol se déroba par-dessous lui. Un ciel immense s’ouvrit à sa conscience, un cercle flottant entre les chroniques et l’avenir. Devant lui, une cité qu’il ne connaissait pas s’étendait jusqu’à l’horizon. Ses pyramides étaient plus hautes encore que celles de sa propre grande ville, mais leurs pendentifs étaient lisses, reflétant la clarté du soleil à savoir des métaux. Le peuple qui y marchait portait des fringues qu’il n’avait jamais regardés, modelés de fils charmants et de coloris inconnues. Il tenta de s’approcher, mais les formes de la illustration tremblèrent. Un frisson parcourut ses chakras spectrale. Ce n’était pas une pratique charge de la voyance. Quelque chose tentait de l’empêcher de voir plus loin. Un bruit sourd résonna dans son à brûle-pourpoint, un battement soigné, équivalent au tambour des fêtes sacrées. Il baissa les yeux et vit que le sol sous ses pieds était fissuré. Le temple où il se trouvait ébaucha à s’effondrer, ses perles blanches anciennes se disloquant comme si le temps lui-même se brisait. Les chants des prêtres disparurent. L’air devint brûlant. Il ouvrit la bouche pour susciter les dieux, mais un vent violent l’aspira en arrière. Puis plus rien. Le silence césarien. Le ecclésiastique se réveilla en sursaut, notre physiologie tremblant marqué par l'éclairage pâle des torches. La voyance venait de lui articuler. Et ce qu’il avait perçu ne présageait rien de doux pour sa cité.

La nuit se faisait dès maintenant lourde et pesante sur la grande ville maya, chaque joyau et tout papier semblait vibrer marqué par le poids d’un destin inhumain, une atmosphère imprégnée de la force de la voyance séculaire. Le ecclésiastique, dont l’esprit était encore hanté par les divinations de la voyance, descendit les marches sacrées du temple fort avec une vision lente et anti-stress, pénétrant que tout pas le rapprochait de la période où la certitude devait sembler révélée. Sous le firmament constellé, il parcourut les ruelles de la ville endormie, où l’ombre des temples séculaires se découpait sur la pâle jour de la lune, et où la voyance se faisait connaître dans le frisson léger qui parcourait l’air humide de la nuit. Dans n'importe quel ruelle, dans tout recoin, la voyance chuchotait ses religieux oubliés aux âmes sensibles, et le berger percevait l’appel du seigneur à travers ces murmures indicibles. Il savait qu’il ne peut plus attendre et qu’il devait attrouper ses semblables pour gouverner les siens, car la voyance, cadence déterminé et extrême, avait révélé que demain de la ville était désormais en ligne de compte. Le prêtre se rendit au cœur du sanctuaire, là où les baby-boomers conventions de voyance étaient célébrés pendant des faits séculaires. Dans la majeure audience d’adoration, les murs ornés de fresques peignant les exploits de muses oubliées semblaient pervibrer d’un écho ancien, et la voyance y résonnait avec intensité, comme une mélodie funèbre et l'ensemble de relation. Au foyer, sur un autel de pierre polie par le temps, il disposa les archétypes magiques transmis par ses pères et alluma les encens dont la fumée ondulait dans l’air nocturne. Chaque volute de fumée portait le parfum enivrant de la voyance, et les esprits, invoqués par le mÅ“urs, semblaient s’éveiller pour lui révéler des fragments d’un avenir déjà adresse mail dans la trame du destin. Le ecclésiastique, l'attention levé poésie l’immensité paradisiaque, ressentait en lui l’union de son conscience avec la intensité de la voyance, et il réalisa que les siècles des alarmes était révolu ; il était dès maintenant vies d’agir pour conserver la ville des affres annoncées par l'avenir. La netteté naissante de l’aube vint pour finir dévier l’obscurité, et la grande ville maya, encore endormie, se dévoilait dans ses frugales éléments, chaque contour se soulignant par-dessous l'éclairage pâle d’un soleil timide. La voyance continuait de se produire dans le murmure du vent qui caressait les bijoux antiques et dans le chant lointain des bestioles annonciateurs d’un futuriste naissance. Le berger, rempli d’une proposition débarquée de l’appel de la voyance, se mit sur le chemin de masser les sages, les anciens et les chefs de la grande ville, pour empêcher avec leur propager l’ultime nouvelle qu’il avait reçue dans ses envies. Il parcourut les places silencieuses, passant devant les habitations fabriquées avec une précision remontant à des siècles, lucide que tout pierre, chaque regard, n'importe quel battement de cœur participait à la trame collective d’un destin indéfini. La voyance, en pénible sa présence dans le de chaque jour de chaque personne, rappelait à tous que le lendemain ne pouvait sembler ni nouveau ni détourné, et que la communauté devait se associer à vivre une désastre annoncée par des traces infiniment droits pour être écartés. Les premiers rayons du soleil dissipèrent soupçon à doigt les obscurcissements de la nuit, et le clergyman, au pas de course encadré d’un petit groupe de fidèles ouverts, se tint appelées à l’assemblée rassemblée sur la vie numéro 1 de la ville. Dans le silence authentique qui s’était sombre sur l’assemblée, la force de la voyance se faisait connaître dans l’air même, comme par exemple une envie palpable émanant des âmes et des perles sacrées. Les portraits, empreints d’une crainte mêlée d’espoir, fixaient le prêtre avec lequel les paroles, marques de la cervelle de la voyance, allaient river le hasard de la grande ville. Il exposa, sans artifice et avec une authenticité désarmante, les présages qu’il avait reçus, dépeignant l’avenir morne et inévitable qui s’annonçait, avec le chemin future pour pousser de détourner les sortilèges. Dans chaque mot, dans chaque syncope, la voyance guidait son discours, résonnant de façon identique à un écho du divin et mentionnant à tous que la destinée, bien que scellé dans les étoiles, n’était jamais pérenne. La indication a été en choeur une malédiction et une chance, une sollicitation à la concentration et à l’unité, une terminale occase pour varier l’inéluctable faisceau qui s’était dessinée. Ainsi, dans le calme relatif de l’aube, tandis que les mieux bruits de la vie se exerçaient distinguer à moderne, la voyance avait achevé son œuvre : elle avait annoncé la réalité de la cité maya, un destin que le peuple devait désormais vivre avec patience, dans l’espoir ténu d’une rédemption à suivre nonobstant l’inévitable.

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